Boris Charmatz

Spectacle
Boris Charmatz torse nu, recroquevillé contre un mur
© Marc Domage
Chorégraphe
Boris Charmatz
Durée
60 min
Production
[terrain]

En 2023, Dance Reflections by Van Cleef & Arpels renforce son soutien à Boris Charmatz pour SOMNOLE. Après s’être engagée en 2021 pour la création de ce spectacle, l’initiative accompagne aujourd’hui sa présentation au Centre Pompidou-Metz, dans le cadre du Romaeuropa Festival, et collabore avec NYU Skirball dans le cadre du Festival Dance Reflections by Van Cleef & Arpels à New York.

Boris Charmatz explore l’idée de somnolence - cette sensation d’être au bord du sommeil. Après une série de pièces de groupe et de créations collectives, et contrairement à son œuvre infini, il investit ici le format minimaliste du solo.

Dans le simple sifflement qui sert d’unique accompagnement, des mélodies apparaissent, se mélangent, se détachent. La relation entre son et mouvement est tour à tour délibérée, hésitante, somnolente ou marquée. 

SOMNOLE est une danse vaporeuse qui unit des mélodies familières à des gestes endormis. À la manière d’un corps cherchant le repos, Boris Charmatz invente une danse insomniaque, un refuge de refrains et de rythmes à la frontière entre rêve éveillé et songes obscurs.

à propos de l'artiste

Portrait de Boris Charmatz en mouvement

Boris Charmatz

En 2023, Dance Reflections by Van Cleef & Arpels apporte son soutien au chorégraphe Boris Charmatz pour sa création Liberté Cathédrale et sa présentation au Théâtre de la Ville et dans le cadre de la Biennale de la danse de Lyon. L’initative a également présenté SOMNOLE en collaboration avec NYU Skirball à New York.

Biographie
Boris Charmatz dansant SOMNOLE
01 / 04 — SOMNOLE par Boris Charmatz © Marc Domage
Boris Charmatz à genoux sur le sol en train de siffler
02 / 04 — SOMNOLE par Boris Charmatz © Marc Domage
Boris Charmatz qui regarde vers le bas, les bras écartés
03 / 04 — SOMNOLE par Boris Charmatz © Marc Domage
Boris Charmatz allongé sur le ventre, comme s'il grimpait un mur
04 / 04 — SOMNOLE par Boris Charmatz © Marc Domage